Bout de terrain
Dans la forêt nationale d’Umpqua, dans le sud de l’État américain de l’Oregon, vous pouvez trouver la tour de feu d’Alan et Dabney. Ces deux hommes ont d’abord acheté le terrain pour construire une cabane où ils pouvaient passer leurs week-ends. Finalement, ils ont construit une maison sur le modèle d’une tour de guet. Le couple venez parfois séjourner dans leur tour de guet, mais après quelques années, ils ont décidé d’y vivre en permanence. Aussitôt dit aussitôt fait.
Vivre dans une tour de guet
Le genre de tour de guet dans laquelle Alan et Dabney vivent est souvent construit comme un belvédère pour les incendies, mais la tour n’est que leur lieu de résidence. « Vous vous réveillez avec les rayons du soleil et il n’y a personne à voir dans les champs ou sur les routes. C’est très spécial », dit Dabney Tomkins.
Zone rurale
« Je n’aurais jamais pensé qu’en tant qu’homme gai urbain, je vivrais dans une région extrêmement rurale comme celle-ci », dit Dabney au sujet de l’emplacement unique dans la forêt. « Nous ne pouvons plus imaginer vivre comme nous le faisions avant », ajoute Alan.
Le rez-de-chaussée
La maison d’Alan et Dabney est impressionnante. La maison se trouve sur de hautes « jambes » et a deux étages. Au premier étage se trouve le salon, et un balcon entoure tout l’étage. Les hommes obtiennent leur énergie à partir de panneaux solaires et ils ont un accès régulier à l’Internet. En bas, il y a un réservoir d’eau et une pompe solaire qui pompe l’eau jusqu’au salon, et la maison est chauffée par un chauffe-eau qui fonctionne au propane. De plus, la cuisine est entièrement équipée. « Le fait que vous viviez dans une région éloignée ne signifie pas qu’il faut mal manger », disent les hommes.
L’étage
Au deuxième étage du belvédère d’Alan et Dabney se trouve leur chambre avec une belle vue sur la forêt. « Je l’appelle mon royaume, se réveiller ici le matin quand le soleil commence à peine à briller. Vous pouvez regarder devant vous sur des kilomètres et vous pouvez entendre les oiseaux chanter le matin », dit Dabney.
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