Lorsqu’ils arrivèrent à la plage, ils furent ravis de constater qu’ils avaient toute la place pour eux. Le temps était frais mais agréable, et le bruit des vagues s’écrasant sur le rivage était apaisant. Maria était ravie d’être là et elle souriait en respirant l’air frais de la mer.
Jacques, en s’avançant sur la plage, sent une vague d’hésitation l’envahir. Alors qu’il regarde le visage de Maria s’illuminer d’excitation, son propre cœur est lourd d’une crainte silencieuse. Ce n’est pas qu’il ne veuille pas être là ; la plage est magnifique et il aime la voir si heureuse. Mais la date de l’accouchement de Maria approchant à grands pas, il ne pouvait se débarrasser d’un sentiment d’inquiétude tenace.