Au milieu du chaos, la main de Samantha entra en contact avec quelque chose qui n’avait pas sa place parmi les débris naturels de la forêt : un journal intime, dont la couverture en cuir était souple et usée par l’usage. En l’extrayant avec précaution d’une couverture d’aiguilles de pin et de feuilles, elle découvrit un ours gaufré sur la couverture, prélude aux secrets qu’il renfermait.
La découverte du journal parmi le matériel de camping moderne a profondément déplacé Samantha. Ses pages, usées par le temps, semblaient résonner des échos du passé et l’invitaient à en percer les secrets. Il y avait un poids, un sens tangible de l’histoire et des histoires non racontées qui l’incitait à explorer son contenu.