Le bon d’achat n’était qu’un piètre substitut au confort auquel il s’attendait. L’agacement monte d’un cran et il prend une grande inspiration, s’efforçant de rester calme : « Cela ne compense pas l’inconfort que je vais endurer », dit-il, la voix tremblante de frustration.
La pensée de la maison, avec sa promesse de détente et de confort, était son réconfort. Il doit rester positif et se concentrer sur la fin de ce voyage. Encore quelques heures, se dit-il, et il pourra enfin se détendre et laisser derrière lui le stress du voyage.