De retour dans son appartement ce soir-là, Stacey ressent une paix profonde et longtemps attendue. Son petit espace douillet était désormais libéré de l’ingérence de M. Perkly. S’installant dans son fauteuil préféré, elle observa la douce lueur des guirlandes lumineuses, une chaleur irradiant en elle.
Les jours suivants, elle se délecta des plaisirs simples de son espace, appréciant chaque matin la lumière du soleil traversant la fenêtre et chaque soirée tranquille sans le poids de l’incertitude qui pesait sur elle. Stacey était chez elle et, pour la première fois, elle se sentait vraiment chez elle.