Tina resta immobile, son langage corporel reflétant soigneusement le calme et la soumission. Elle sentait les yeux du loup braqués sur elle, épiant le moindre de ses mouvements. Lentement, elle approcha sa main de la poignée de la porte derrière elle, tout en maintenant le contact visuel avec l’animal. Le loup gémit à nouveau et Tina sentit qu’il était de plus en plus mal à l’aise.
Avec une prière silencieuse, elle tourna doucement la poignée et ouvrit la porte juste assez pour se glisser à l’extérieur. Les yeux du loup suivaient chacun de ses mouvements, mais il restait sur place, sa position protectrice toujours intacte. Tina se déplaça avec une lenteur méticuleuse, gardant ses mouvements fluides et délibérés pour ne pas effrayer l’animal.